Les Grandes Occasions

Un roman qui parlera à tous, mère, père, fils ou fille.
Bouleversant.

Un roman sensible et poétique où les liens familiaux se tissent comme dans une tapisserie délicate.

Les blessures mal guéries de cette famille n’attendaient qu’une plume sensible mais pénétrante pour faire voler les dernières apparences en éclats. Une très belle découverte !

On ne peut pas lâcher ce premier roman. La chaleur étouffante et la mélancolie qu’imposent l’autrice produisent une ambiance inédite. La force de l’écriture et la maîtrise de la tension narrative sont épatantes.

Un texte profondément littéraire qui donne à cette tragédie familiale le goût de ces dimanches ensoleillés qui suspendent le temps. En un mot : magnifique.

Un premier roman mettant à mal le rêve d’une famille idéale où l’on peut se reconnaître

Un premier roman parfaitement maîtrisé qui explore les relations familiales avec une grande justesse et une vive émotion. Impossible de ne pas s’y voir !

La chaleur de juillet nous réchauffe et nous terrasse. Un coup de cœur.

Alexandra Matine ausculte avec une grande justesse les rapports familiaux faits de rivalités, de non-dits et de préférences, autant de failles qui constituent une famille. Une nouvelle plume très prometteuse !

Un premier roman bluffant de maturité.

Gros coup de cœur pour ce magnifique roman servi par une écriture lumineuse et une troublante intensité dramatique. Magnifique !

L’auteure donne l’impression d’avoir déjà vécu mille vies. Elle dresse des portraits de personnages à la fois justes et d’une grande finesse psychologique

Les Grandes Occasions est de ces romans qui vous happent, ne vous laissent pas tranquille, vous montrent l’implacable fragilité de nos vies mais aussi ces fugaces instants de bonheur qui rendent nos existences si précieuses, ces instants qu’il faut saisir puis laisser partir…

Ce premier roman d’une grande finesse raconte la complexité des familles et leurs silences. Et nous ne pouvons pas le lâcher.

Sous les yeux du lecteur se tisse une toile familiale dense et riche, avec ses accrocs, ses mailles sautées, ses nœuds solides aussi. Une toile faite de souvenirs, de querelles, de tendresse, de joies. Une toile qui enveloppe mais qui emprisonne aussi, qui enlace Esther et l’enferme dans sa vision idéalisée d’une famille unie.